La Treizième Croisade Noire, Ascension Finale du Fléau

Chapitre I : "La Peste te devancera..."

Abaddon, Fléau de tous les Temps, se prélassait sur son trône, déoncerté par le manque de guerres.
"Bien calme période... Pas même de conflit entre les World Eaters et les Noise Marines... Encore un plan complexe de Slaanesh ?"
Cela faisait bien longtemps que le Fléau n'avait lus goûté à la bataille, et chaque jour son envie de humer le sang s'amplifiait.
Soudain, un héraut Word Bearer apparut devant lui, arborant une expression satisfaite. Aussitôt le Fléau se leva, l'espoir s'embrasant en lui, l'espoir de retrouver le froid et l'acier de la bataille. Faisant halte à une dizaine de pas d'Abaddon, le héraut s'inclina plus bas que terre, et l'impatience du Fléau siffla :
- Parle, messager.
La voix d'Abaddon vibrait tant il avait soif de mort.
- Mon seigneur, s'éleva la voix du Héraut, le Grand Chapelain, m'envoie vous annoncer que c'est fait.
Comblé, le Fléau répondit :
- Alors il y est enfin parvenu... Est-ce que l'Alpha Legion et les Night Lords ont rempli leur part du contrat ?
- Aux dernières nouvelles il semblerait que ce soit le cas.
- Parfait ! Va, messager, et promets à ton maître que la Légion Noire saura se souvenir de sa dévotion !
Les immenses portes de la salle émirent un grincement assourdissant alors qu'elles tournaient sur leurs gonds, puis elles se refermèrent bruyamment sur le messager Word Bearer. Le Fléau se retourna vers le capitaine Terminator de sa garde, puis lui demanda d'entrer l'adresse du palais de Typhus sur le clavier de Téléportation.
Typhus se détourna de son orbe de Pestilence alors que des pas résonnaient derrière lui. Le Fléau marchait vers lui, grave et inexpressif comme à son habitude.
- Qu'as-tu à me dire, Fléau ? demanda Typhus.
- Héraut de Nurgle, je fais une fois de plus appel à toi pour te tenis à mes côtés au cours d'une Croisade Noire.
- Pourquoi te ferais-je cet honneur ? interrogea Typhus, tout en sachant que le charismatique Abaddon le convaincrait une fois de plus.
- Comme tu le sais, depuis bien longtemps les Légions Renégates travaillent à la péparation de cette Croisade, et aujourd'hui elles sont fin prêtes. Je sais que douze fois déjà je t'ai promis la chute de Cadia sans aucun résultat, mais cette fois-ci je le sens au plus profond de moi, Typhus. Le vent tourne, le vent de la Destruction se lève et va bientôt souffler si fort sur l'Imperium que celui-ci sera réduiten cendres.
- Tu le reconnais toi-même, douze fois je me suis laissé piéger par ce discours, mais je suis las de constater que nous ne rapportons que des richesses, et non pas des conquêtes, de ces Croisades dont je commence à douter de l'utilité.
- Ton maître préparerait-il encore un conflit avec Tzeentch ? Ceux-là sont moins utiles encore que mes Croisades Noires. Allons, Typhus, tu sais bien qu'au fond tu veux à nouveau tenter de mettre à bas l'Imperium, quitte à ce qu'encore une fois tu échoues. Ne perds pas de temps en vaines paroles, prépare tes fiers Marines de la Peste à se battre avec rage contre l'Imperium. Motive tes troupes, demande des faveurs à ton "Grand-Père" pour les batailles à venir, et rejoins-moi dès que tu seras prêt.
- Très bien, Nurgle sera à tes côtés encore une fois. Tu as gagné, Fléau. Et comme il en a l'habitude, mon Seigneur facilitera la tâche autant que faire se peut. La Peste te devancera...

Chapitre II : "L'Imperium tiendra !"

SYSTEME CADIA : http://www.eyeofterror.com/fr/map/system_cadian.htm
PLANETE CADIA
POPULATION : 250,000,000
MONDE FORTERESSE / GARNISON

- Commissaire, la brèche Warp secteur s'est remise en activité.
- Que se passe-t-il précisément ? voulut s'informer le grand Commissaire Yarrick, héros de Cadia.
- D'étranges vaisseaux n sortent constammnt, et nous craignons que certains ne réussissent à passer notre barrage de tir ! Sans aucune explication, des visages démoniaques apparaissent et disparaissent, brouillant nos radars et affolant les observateurs. Je ne sais pas ce qui se passe, mais tout cela me semble être un très mauvais augure !
- Ne paniquez pas ainsi, on dirait qu'une treizième Croisade Noire est lancée, plaisanta Yarrick. Faites plutôt préparer ma navette, je vais voir par moi-même ce qui se passe.
Le messager s'en retourna et s'éloigna d'un pas nerveux, mais Yarrick le retint :
- Et puis... Alertez le régiment Space Marine le plus proche.
Voyant que le messager était parcouru d'un frisson, le Commissaire ajouta :
- Au cas où...
Mal à l'aise, le messager quitta la salle.
Une fois le messager parti, Yarrick se leva et congédia sa garde. Il ne fallait pas que la nouvelle se répande, la population paniquerait inutilement...
Le Commissaire se leva dès qu'il fut seul, et contacta Sainte Terra sur la ligne de l'urgence absolue réservée au système de Cadia, barrière bien fragile face au Chaos.
Un visage inconnu apparut à l'écran du petit appareil sur lequel il avait composé le code, et Yarrick ne lui laissa pas même le temps de parler :
- Des signes caractéristiques d'une nouvelle Croisade Noire viennent tout juste d'être observés ici, sur Cadia. J demande d'urgence l'envoi d'autant de contingents que possible ! Cadia ne tiendra pas éternellement ! Alertez tous ceux que vous pouvez et transférez-moi sur la ligne du rère-Capitaine Stern.
- Bien, répondit l'interlocuteur de Yarrick tout en transférant ce dernier.
Stern apparut à l'écran.
Yarrick l'alerta aussitôt :
- Frère-Capitaine, une Croisade Noire est lacée sur Cadia. Comme pour les douze précédentes, celle-ci sera sûrement soutenue par une fantastique brèche démoniaque, je vous demande donc de m'envoyer au plus vite un maximumde vos Chevaliers Gris.
- Ce sera fait dans les plus brefs délais, répondit Stern. Déjà derrière lui Yarrick apercevait la course des redoutables Terminators Chevaliers Gris, et cela lui redonna l'espoir. Comme ils avaient l'air braves... Comment pourraient-ils perdre aux côtés de soldats si fiers ?
Yarrick voulut contacter Marneus Calgar, car il savait que ce chef de chapitre était influent à travers toute la Galaxie et que sa parole insufflerait du courage aux pace Marines. Le visage de Calgar apparut sur l'écran, mais aussitôt la communication fut brouillée, et le visage d'un Sanguinaire moqueur remplaça celui du Chef de Chapitre Ultramarine.
Un messager fit irruption dans la salle, et lança, paniqué :
- Un régimnt entier de notre armée est devenu complètement fou ! Il s'est lancé dans une abominable mutinerie !
- J'arrive tout de suite ! répliqua Yarrick, frieux.
Il aperçut les troupes, la veille encore fières et brillantes, créer un bain de sang, leur propre sang. Yarrick analysa rapidement la situation, et repéra un soldat particulièrement enragé tuent tous ceux qui se présentaient à portée de son couteau ensanglanté. Yarrick sut que c'était ce soldat qui était à l'origine de la mutinerie, son esprit s'effondrait et ses yeux étaient injectés de sang.
"Maudits esprits du Chaos !", pensa Yarrick.
Il se jeta sur l'individu possédé et, d'un coup fantastique de son poing d'acier, le tua sur le coup. Aussitôt la mutinerie cessa, et tous les soldats baissèrent la tête, fuyant le regard sévère du Commissaire.
Soudain un vaisseau du Chaos qui avait dû traverser le barrage cadien frôla les têtes des cadiens, au point que tous les soldats et même Yarrick se jetèrent à terre.
Lorsqu'ils se relevèrent, certains soldats chancelaient. Yarrick était habitué à ce fléau, et devait une fois de plus assister à ce terrible spectacle. Un soldat se mit à vomir, puis devint pâle comme la mort. Il tituba, manqua de tomber, inspira bruyamment puis poussa un cri effrayant. Un tentacule vert sortit de son corps, puis un deuxième. Les yeux du malheureux se pévulsèrent, puis éclatèrent. Enfin la poitrine du soldat vola en éclats putréfiés.
Bien d'autres soldats suivirent cet exemple, et finalment les ravages cessèrent. Yarrick monta sur un cadavre et prit la parole.
- Je suis habitué à cela. C'est la malédiction de Nurgle du Chaos, mais douze fois déjà Cadia l'a subie. Et douze fois déjà Cadia tenu face aux troupes déchaînées du Chaos ! Alors ne désespérez pas, braves cadiens : les renforts sont en route vers nous par millions déjà, et je vous le promets, une fois de plus, l'Imperium tiendra !

Bien bien bien ... L'Imperium tiendra !

c'est de toi cette histoire ?

Ouaip, cé moué ki lé fé !

bravo nous aussi dans notre forum on fais des histoire

dommage que le mec avec les yeux injecteé de sang a pas fini sa transformation en demon majeur de khorne parceque la sa aurait fait mal

Genre un démon de 1m80 c'est nimp le chaos !!!

Pas dès le début quand même...
Une victoire trop facile est trop diminuée, il faut qu l'ennemi résiste, sinon ce n'est ni marrant ni glorifiant !

oui a la fin le truc de nurglle sa le fai pas trop

non mais le demon sort su mec il prend possesion de corp
quand tu invoque un demon d'un mec qui peu etre invoquer tu retire la fig et tu la remplace par le demon la sa aurai fait pareil

oui mais c'est son histoire on peut rien faire

Mais justement, ça renforce l'héroïsme des cadiens : le Commissaire Yarrick vient à bout du possédé avant même que le démon ne puisse se manifester...

Bon alors la suite, ...

la suite c'est que le frere du possédé v1 défonce yarrik

ou que yarick devient un renegat avec tout ses hommes et qu'il partent a l'assault des SM et autre protecteur de l'imperium ^^

Vous inquiétez pas, ça arrive !

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on connai deja la suite

Chapitre III : "Contemplez sa faiblesse..."

Impassible, l'Oeil de la Terreur paraissait plus sinistre que jamais à l'armada impériale réunie rapidement afin d'opposer une première résistance aux vaisseaux du Chaos. La pression montait dans les chasseurs et vaisseaux amiraux de l'Imperium, car cela faisait alors trois heures - qui leur avaient paru être autant d'éternités - que les cadiens attendaient leurs ennemis, et chacun craignait de se relâcher et de se laisser surprendre par une frappe éclair.

Abaddon regardait passivement s'égrener les secondes sur l'horloge démoniaque qu'on avait déposée devant lui à sa demande. Soudain, les yeux du démon devinrent des braises, et un hurlement jaillit de l'horloge, indiquant au Fléau qu'il était "l'heure".
Aussitôt, le Fléau se leva et annonça aux quatre hérauts qui attendaient le signal :
- Vous pouvez retourner auprès de vos maîtres, et leur dire de manoeuvrer.
Sur ce, les hérauts se retirèrent, et le Tueur de Mondes s'ébranla. Abaddon était très fier de son vaisseau, car il avait été créé avec une énergie démoniaque proche de celle de Drach'nyen, de sorte que celle-ci confère à l'appareil une puissance époustouflante. Lorsque le Fléau plaçait sa lame maudite dans un emplacement prévu à cet effet, l'épée démoniaque pouvait prendre le contrôle d'une tourelle qui devenait alors capable de déchirer le blindage le plus épais, avec une précision incroyable. La lame donnait au vaisseau la capacité de se déplacer plus vite que la lumière pendant quelques secondes. En outre, tant que Drach'nyen était dans son emplacement, le vaisseau pouvait sacrifier des Enfants du Chaos afin de se réparer avec leur chair démoniaque, si proche de celle du Tueur de Monde.
Les vaisseaux commençaient à entrer en mouvement alentour, aussi Abaddon ordonna-t-il d'augmenter légèrement la vitesse afin de rester en tête de la flotte.

Les premiers vaisseaux du Chaos apparurent aux yeux des cadiens.
- N'oubliez pas qu'ils ne sont pas encore à portée, précisa aussitôt le commissaire Yarrick par le biais de la radiocommunication. Attendez mon signal...
Inexorable, le fantastique armada du Chaos progressait inlassablement, se faisant de plus en plus distincte, de plus en plus angoissante, de plus en plus... mortelle.
La voix de Yarrick se fit à nouveau entendre :
- Ils arrivent à portée. Tenez-vous prêts... Cinq... Quatre... Trois... Deux...
Soudain, le Tueur de mondes surgit au milieu de la flotte impériale. Pris de panique, un quart des vaisseaux impériaux fit maladroitement feu sur la flotte du Chaos encore hors de portée, le reste tentant difficilement d'orienter ses canons vers le Tueur de Mondes qui, déjà, pilonnait deux vaisseaux et en avait éperonné un troisième.
Les rayons laser fusaient en tous sens, et le Tueur de Mondes avait si bien désorganisé la flotte impériale que les vaisseaux du Chaos étaient à portée de tir et n'avaient subi presque aucun dommage. Le Chaos ouvrit le feu, semant l'apocalypse chez les impériaux. Aussitôt, la flotte de l'Imperium se reprit et ouvrit à son tour le feu sur la flotte du Chaos, qui subit de lourdes pertes.
Le Tueur de Mondes, pratiquement intouchable car il était à présent au beau milieu de la flotte impériale, causait des dégâts énormes.
Depuis le pont de son millénaire vaisseau, Abaddon regardait avec satisfaction la flotte impériale sombrer, submergée par le feu nourri de la flotte du Chaos et les ravages intérieurs que causait le Tueur de Mondes. Une secousse agita le pont, et un rugissement de démon blessé fut émis par le vaisseau. Aussitôt deux Enfants du Chaos trouvèrent l'impact du tir impérial et se fondirent à la coque du Tueur de Mondes, qui reprit son pilonnage des rangs impériaux.
Soudain, Abaddon aperçut un gigantesque vaisseau qui fondait sur le Tueur de Mondes. Il comprit que Yarrick, en désespoir de cause, avait harangué ses troupes et allait tenter d'aborder le vaisseau du Fléau avec son propre vaisseau. Abaddon hurla des ordres, et de partout autour de lui surgirent des Marines du Chaos prêts à défendre leur appareil.
Un choc brutal accueillit le vaisseau amiral de Yarrick, qui venait d'éperonner le vaisseau du Chaos. Mais aussitôt des Enfants du Chaos se fondirent au Tueur de Mondes, dont la coque se reforma autour de l'éperon de l'appareil impérial. Les Marines du Chaos se précipitèrent vers le secteur du vaisseau dans lequel était piégé l'éperon du vaisseau amiral ennemi. Lorsqu'ils arrivèrent sur place, l'éperon sauta, et des cadiens se déversèrent sur le Tueur de Mondes. Les cadiens ouvrirent le feu les premiers, fauchant les rangs adverses tout en progressant rapidement. Mais très vite, Abaddon en personne, furieux que l'on s'attaque à son vaisseau favori, plongea dans la mêlée en poussant un cri de guerre à glacer le sang. Les cadiens reculèrent dans la panique, et leur retraite désorganisée fut transformée en massacre par Drach'nyen. Enfin les rangs impériaux se reformèrent, mais face aux Terminators d'Abaddon, les cadiens savaient la lutte perdue d'avance. Sans discrimination, Abaddon et sa garde se ruèrent à nouveau sur les cadiens qui se défendirent aussi bien qu'ils le purent, cependant pas assez pour ne pas être écrasés.
Dans l'esprit d'Abaddon surgit alors une idée des plus diaboliques.
Il cria :
- Avec moi, fiers Marines du Chaos, prenons le vaisseau de ces arrogants cadiens qui croyaient pouvoir s'emparer du nôtre !
Un rugissement d'approbation fut repris en coeur par tout l'équipage du Teur de Mondes tandis qu'une vague incontrôlable de frayeur traversait les rangs cadiens. Les Terminators effectuèrent une percée par laquelle s'engouffrèrent rapidement de nombreux Marines du Chaos menés par Abaddon. Les cadiens étaient littéralement submergés piétinés par les forces déchaînées du Chaos. Les positions s'inversèrent alors : Abaddon et ses troupes avaient pénétré le vaisseau amiral de Yarrick, devenant à leur tour attaquants.
Les cadiens, prenant conscience de l'enjeu que représentait la défense de leur vaisseau amiral, reprirent des forces et du courage, assez en tout cas pour opposer à nouveau une résistance sérieuse à Abaddon et à sa suite de Terminators. ais le courage ne suffisait pas face à ces véritables monstres et, pouce par pouce, les cadiens cédaient du terrain.
Les troupes du Chaos atteignirent un point où le vaisseau s'élargissait, passant d'un couloir étroit à une large salle entourée de hublots. Abaddon aperçut par l'un de ceux-ci la bataille à l'extérieur, et constata que la flotte impériale était en déroute. Les vaisseaux impériaux résistaient encore par endroits mais la retraite serait bientôt donnée, et la flotte du Chaos était encore en bon état. Abaddon fut tiré de son observation par un bruit métallique et un mugissement de rage. Il se détourna du hublot, et aperçut le commissaire Yarrick faire irruption dans la salle, hurlant des ordres rendus incompréhensibles par sa colère. Mais il n'obtint pas l'effet escompté : ses soldats surpris tournèrent la tête, et furent tués dans le dos par les marines du Chaos. Instinctivement, les quelques cadiens survivants s'étaient regroupés en un mur protecteur autour de leur chef, mais continuaient de tomber un par un.
Finalement, Yarrick se retrouva seul face aux hordes du Chaos, la porte salutaire de sortie se trouvant dans son dos.
Il lança alors :
- Eh bien, Fléau, si tu es si puissant que ça, prouve-le et viens me défier !
Les marines du Chaos s'immobilisèrent, guettant la réaction de leur chef.
Celui-ci rétorqua :
- Crois-tu que tu en vaux la peine ?
Aussitôt les Space rines du Chaos firent feu sur Yarrick, qui n'eut d'autre choix que de s'enfuir en se protégeant tant bien que mal.
Au-dehors, la flotte du Chaos avait largement triomphé. Un bruit de sas retentit, et Abaddon vit une navette de secours quitter le vaisseau amiral qu'il occupait.
Abaddon se tourna vers ses troupes :
- Regardez-le fuir, "le grand Yarrick", ce misérable si estimé par les siens... Contemplez sa faiblesse...

Bordel, c'est quoi ce roman, mais j'ai vraiment la flemme de lire, il faudrait me le dicter l

Je ne réalise pas quand j'écris, je raconte, raconte, raconte... jusqu'à plus soif.

OUais ben faudrait penser a boire alors de temps en temps, bon on s'eloigne un peu du sujet la ...

Le 12; tu sors !!!

O_o Winnie33 o_O a écrit:

Le 12; tu sors !!!

Oui arrête, les modos vont te choper !
Des commentares constructifs sur mon histoire ?

Ben............euh.......pour l'instant je vais manger

C'est ça, bon appétit. N'empeste plus mon forum...